diffusion élastique造句

• Articles détaillés: diffusion élastique et diffusion inélastique.
• Diffusion élastique et inélastique résonante des rayons X; 4.
• La diffusion Thomson est la diffusion élastique des ondes électromagnétiques par des électrons libres.
• En fait, Rutherford a observé la diffusion inélastique en pensant que c'était la diffusion élastique.
• Les rayons de charge de 20, 22Ne ont été mesurés par la diffusion élastique des électrons.
• Diffusion élastique avec les noyaux : peu d’énergie transférée, car les particules sont plus légères que le noyau.
• On présente un bref résumé des premières données de diffusion élastique et inélastique obtenues avec les installations LEAR.
• Nous avons determiné les sections efficaces differentielles de diffusion élastique du méson π− de noyaux 208Pb à 29 MeV.
• Dans l'intervalle le plus bas, les résultats obtenus pour la diffusion élastique sont compatibles avec les calculs de Dreckman.
• Nous parlons ici de diffusion élastique par des atomes non saturés en spin, de collisions inélastiques et d'expériences en coïncidence.
• La méthode est appliquée à la diffusion élastique α–α, et les résultats sont comparés avec ceux qu'on obtient par d'autres méthodes.
• Il est possible de reproduire les sections efficaces différentielles de diffusion élastique et d'échange de charge avec des modèles de potentiels.
• Il appert que la valeur obtenue de la diffusion élastique électron-proton est celle dont la marge d'erreur est la plus grande.
• Les résultats présentés permettent d'évaluer la précision des valeurs existantes des sections efficaces de diffusion élastique e+Kr et e+Xe à basse énergie.
• La section efficace de diffusion élastique a été normalisée à la section efficace de diffusion Rutherford pour une énergie de 385.5 keV.
• La polarisation tensorielle du deutéron, dans la diffusion élastique électron–deutéron, dépend du rapport entre les facteurs de forme quadrupolaire et monopolaire du deutéron.
• Nos calculs antérieurs de pseudopotentiel sur les collisions d'électrons avec l'argon et le krypton sont étendus au cas de la diffusion élastique électron–helium.
• On utilise, pour le calcul des déphasages d'onde S de la diffusion élastique e+–H, de nouvelles techniques variationnelles où la fonctionelle est minimisée.
• Les résultats obtenus pour les sections efficaces totales de diffusion élastique sont comparées avec les plus récents calculs variationnels de Sinfailam et Nesbet.
• On a étudié la diffusion élastique des protons de 100 MeV par 14N. Les résultats ont été analysés à l'aide du modèle optique.